(https://www.parismatch.com/Actu/International/Drones-la-detresse-des-pilotes-1572644 désolé j'ai la flemme de chercher une vraie source^^)
Oui plus facile ,je dis peut-être une connerie mais je crois que entre l'aviation et l'infanterie en zone de combat y'as pas photo niveau "traumatisme" ,certainement que l'odeur y est pour beaucoup.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Raid_a%C3%A9rien_du_12_juillet_2007_%C3%A0_Bagdad Ils ont l'air de bien s'éclater a shooté au 30mm ,contrairement à l'unité d'infanterie qui est venus ramasser les morceaux et évacuer les deux enfants.
Pour le bien être de votre santé, de votre liberté de pensée, éteignez votre foutue télévision. cette dernière n'est devenue qu'une arme d'abrutissement massive de la population et de propagande gouvernementale.
T'as tout à fait raison, c'est ma faute favorite.
J'en profite pour dire qu'il manque un "n" à "tâtonnements" dans le deuxième sous titre.
Et bravo pour l'article, très bien sourcé et intéressant !
Très bel article, malheureusement encore nécessaire aujourd'hui... Comme dit à la fin de l'article, on ne convaincra pas les "puristes" qui pensent encore que les JV sont synonymes de violence, mais si on arrive à convaincre nos proches, on aura déjà fait pas mal de taff !
Petite mention spéciale au "Image non-contractuelle d'un chercheur en sciences sociales essayant d'augmenter son coefficent de corrélation" qui m'a bien fait rire !
Je frappe ma table par moment
C'est vrai qu'un mec qui a fait exprès de se filmer en train de fracasser un clavier en faisant semblant de rager est à prendre au sérieux.
C'était put-être greg, j'ai retrouvé ça dans les archives : https://www.vakarm.net/news/read/Pas-de-violence-c-est-les-vacances/1357
mais il me semblait qu tu avais fait un blog de la rédac :)
Je vois que y'as pas que moi qui regarde PVR.
Même si les tailles d'effet sont souvent petites, il est par contre fréquent d'identifier des variables ayant un effet significatif sur une autre en psychologie.
"Le fait que deux variables suivent les mêmes courbes ne signifient pas qu'un lien de causalité les unit. Pour pallier cette faiblesse, on utilise généralement des coefficients de corrélation qui permettent de juger de la force d’une corrélation, c’est-à-dire de la force du lien entre deux variables. Cette recherche de corrélation forte est au coeur des travaux en psychologie qui nous intéressent ici, et de pans entiers des sciences humaines et sociales en général."
Petite erreur ici, les coefficients de corrélation ne permettent pas de parler de causalité, toute corrélation est associée à un coefficient de corrélation. Une corrélation très forte ne veut pas dire causalité. Exemple: https://rafalab.github.io/dsbook/association-is-not-causation.html : il y a une correlation très forte entre la consommation de margarine et le divorce (coefficient de .93, ce qui est très élevé, le maximum étant 1 pour un coefficient standardisé).
Pour parler de causalité, c'est le design de l'étude qui compte bien plus que les analyses. Pour faire simple, il faut mener des études longitudinales (on va mesurer les variables plusieurs fois sur un temps donné), et faire ensuite des régressions (avec un coefficient de régression) et d'autres analyses plus complexes. La plupart des études sur le sujet étant transversales (toutes les variables sont mesurées en même temps), il n'est pas possible de savoir quelle est la cause et la conséquence en se basant sur celles-ci. Quoi qu'il en soit, et c'est bien mentionné dans l'article, le niveau de preuve le plus élevé sont les méta analyses, une étude isolée ne permet pas de conclure grand chose, sauf dans certains cas particuliers (études très solides, assez rares en psychologie pour des raisons de faisabilité).
Autrement, l'article est bien écrit et les sources pertinentes.
"Petite erreur ici, les coefficients de corrélation ne permettent pas de parler de causalité, toute corrélation est associée à un coefficient de corrélation. Une corrélation très forte ne veut pas dire causalité."
C'est peut être la formulation qui n'est pas claire parce que je ne voulais surtout pas dire qu'un fort coefficient = causalité. Mon argument plus général est que la recherche de causalité en SHS est presque impossible et, épistémologiquement, possiblement vaine.
A vrai dire, se focaliser sur le jeu vidéo c'est absurde. La réalité est que voir des images violentes rend violent. Quand je parle de violence, je ne parle pas forcement de l'acte extrême. Mais de simplement être plus irritable et s'énerver contre la caissière au supermarché, c'est déjà une forme de violence.
Ca c'est un fait. Et ce, peu importe la source : cinéma, séries, journal de 20h, jeux vidéo.
https://www.youtube.com/watch?v=NvMNf0Po1wY
Il ne parle pas que de ça et il se focalise sur la télévision, mais ça revient au même.
Exactement d'accord pour le coup, et le débat est relancé avec Trumpette qui dis que les jeux-vidéos provoque les tueries qu'il peut y avoir, sauf qu'encore une fois c'est d'une débilité car les violences liés aux armes à feu sont a 80% aux Etats-Unis, et les pays les plus joueurs de jeux-vidéo, comme la Corée (Top 2 du plus grand nombre de joueur de jeux-vidéos, à le plus faible taux d'homicide) et le Japon (Top 1 du plus grand nombre de joueur de jeux-vidéos , à le plus faible taux d'homicide lié à une arme à feu)
Cela reste un débat sans fin avec des cons pour l'animé :]
animer*
Oui mais c'est bien trop dur de l'admettre alors que c'est tellement simple d'accuser un média dont monsieur et madame tout le monde seront ravis d'aider à taper dessus :D
Il n'y a aucune preuve que l'exposition à des images violente rende violent.
La recherche de causalité est pourtant centrale, dans la recherche des déterminants des diverses problématiques psychologiques ou des attitudes individuelles par exemple. Il est tout à fait possible de mettre en oeuvre sur le plan méthodologique des études permettant de parler de causalité en SHS: expérimentation, plan expérimentaux, modèles cross lagged, randomisation etc. Ce n'est effectivement pas la même chose encore que des expérimentations en physique ou chimie, mais on peut néanmoins parler causalité lorsque le design de l'étude et le traitement statistique le permettent.
Bah c'est là que je suis pas tout à fait d'accord. Même si je sais que beaucoup de monde fait ça, notamment en quanti et/ou expérimental, je vois toujours une limite épistémologique fondamentale à dire qu'on a démontré une causalité en SHS. C'est pas un débat qui se règlera dans des commentaires VaKarM mais je l'ai déjà eu mille fois avec des collègues qui font, par exemple, du big data, et même avec la méthodologie la plus rigoureuse possible, je trouve ça toujours gênant l'assurance avec laquelle certains chercheurs assurent mettre au jour ce genre de processus.
Dans mon domaine (sciences politiques), qui en plus emprunte à divers champs (psycho, socio, histoire, etc.), j'ai souvent l'impression que les gens qui avancent des causalités ont des visions très réductrices de leur objet d'étude. Ca veut pas dire qu'il faut pas faire du quanti ou de l'expérimental, mais simplement que ce sont des méthodes tout aussi faillibles que les autres (quali, ethno etc) dans ce qu'elles peuvent ou ne peuvent pas démontrer. C'est un biais positiviste que je déplore parce que chercher des causalité revient à chercher des lois du fonctionnement social/humain. Si X cause Y dans mon expérience, rien ne m'empêche de déclarer que, toutes choses égales par ailleurs, X cause toujours Y. Ce qui pose mille problèmes théoriques.
Tout cela est vrai, c'est pour cela qu'il existe une crise de la reproductibilité en SHS et que les tailles d'effet sont quasi toujours faibles. Malgré tout, il existe plusieurs relations établies en psychologie par exemple, entre certaines variables dont on sait de façon consensuelle que l'une est la cause de l'autre, sur la base de corpus très importants. Je pense notamment aux stratégies de coping dysfonctionnelles de type impuissance désespoir, dont le processus causal a été démontré maintes fois dans la survenue et la dégradation de nombreuses pathologies. Cela dit, même dans ces cas là, on parle davantage de facteurs de risque identifiés que de cause absolues. On connait certains déterminants qui constituent des risques, mais on sait aussi que ce facteur entre en interaction avec de multiples paramétrés qui font que le lien n'existe souvent que dans certaines circonstances (on cherche alors lesquelles, ce sont des modérateurs de la relation). Quoi qu'il en soit, on dispose aujourd'hui de modèles du comportement humain dont certains ont fait la preuve de leur robustesse, sans encore une fois que les processus en jeu soient absolus.
il faut pas confondre nation en guerre et tuerie dans une ville dans le monde.
Et c'est pas parce que 99% de la population qui jouent aux jeux vidéos vivant normalement que l'autre % ne serait pas capable de tuer a cause d'un jeux / d'une rivalité.
il suffit de regarder des vidéos de rage sur internet pour comprendre comment fonctionne un jeux vidéo dans le comportement de ceux ci
il fait très bien semblant en tout cas, tous les autres aussi.
comme il suffit de regarder les vidéos de haines raciales pour voir que les jeux vidéos sont très loin d'être le 1er probleme pour ce type d'agissement
La blague. Il existe des études depuis les années 70s. Toutes observent une différence de comportement après avoir vu des images violentes.
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